mardi 24 janvier 2012

La colline aux coquelicots


Synopsis : Umi est une jeune lycéenne qui vit dans une vieille bâtisse perchée au sommet d’une colline surplombant le port de Yokohama. Chaque matin, depuis que son père a disparu en mer, elle hisse face à la baie deux pavillons, comme un message lancé à l’horizon. Au lycée, quelqu’un a même écrit un article sur cet émouvant signal dans le journal du campus. C’est peut-être l’intrépide Shun, le séduisant jeune homme qu’Umi n’a pas manqué de remarquer...
Attirés l’un par l’autre, les deux jeunes gens vont partager de plus en plus d’activités, de la sauvegarde du vieux foyer jusqu’à la rédaction du journal. Pourtant, leur relation va prendre un tour inattendu avec la découverte d’un secret qui entoure leur naissance et semble les lier…
Dans un Japon des années 60, entre tradition et modernité, à l’aube d’une nouvelle ère, Umi et Shun vont se découvrir et partager une émouvante histoire d’amitié, d’amour et d’espoir. 

Mon avis : 
Ahahah comme j'ai bien ris lorsque j'ai fais quelques petites recherches sur ce film pour l'article ! J'étais toute fière de vous dire que j'avais à nouveau vu un petit bijou de film de Miyazaki. Oui ... mais ! Il s'agit ici d'un film de Goro Miyazaki ! Qui n'est autre que ... le fils de Hayao Miyazaki (Princesse Mononoké, Le Château Ambulant, Ponyo sur la falaise), celui dont je pensais aller voir le film. Donc maintenant que la généalogie des Miyazaki est établit je vais enfin pouvoir vous donner mon avis.

Comme vous l'aurez surement compris plus haut, j'ai vraiment beaucoup aimé La Colline aux Coquelicots ! Malheureusement, j'ai dû rater les quelques premières minutes mais je pense que cela n'a pas entravé la compréhension du film. Je voulais aussi vous préciser que je l'ai vu en VF et bien qu'étant une grande partisane de la VO -notamment pour les films d'animations japonais-, j'ai beaucoup apprécié les voix françaises. En regardant le film, j'ai retrouvé le sentiment de bien être que me procure généralement les films de Miyazaki père, comme quoi le fils est tout aussi doué ! Umi est un personnage très attachant, on la sent très affectée du décès de son père mais sans que cela rentre dans la sensiblerie, elle essaye de lui rendre hommage à sa façon et de garder les habitudes qu'elle a pu avoir avec lui. J'aime beaucoup les quelques passages flash back où l'on peut apprendre à le découvrir, lui et la mère de Umi. Dans un sens Umi ressemble beaucoup à son papa je trouve, son attrait pour la mer, ses engagements

C'est dans ses engagements justement que j'ai remarqué une différence entre père et fils Miyazaki. L'histoire se déroule déjà dans un milieu étudiant, plus âgé donc que les milieux que j'ai pu rencontré dans certains films d'Hayao -je précise que je ne les ai PAS TOUS vu, au cas où je me tromperais-. Ensuite, un des enjeu central tout le long du film est la lutte d'une partie des étudiants pour sauver un bâtiment nommé "Le Quartier Latin". J'adore cette bâtisse ! Elle est sur je ne sais plus combien d'étages, presque toute de bois, elle a une âme que l'on arrive à ressentir même en temps que spectateur. La lutte des étudiants est longue et souvent houleuse ce qui nous permet d'assister à de très beau moment de débats-comme l'assemblée générale!-.

J'aime beaucoup la relation qui se crée entre Umi et Shun. Il n'y a pas de grands clichés d'amour fou au premier regard, même si l'on peut tout de même remarquer assez rapidement que leur destin semblent croisés. Par la suite, lorsque cette relation évolue, elle subit un revirement assez inattendu. Cependant l'histoire ne tombe pas pour autant dans un côté catégorique. C'est aussi ce qui m'a plut dans le film, on nous emmène à nous poser des questions sur leur avenir, sur comment les choses vont tourner pour eux, pour tout le monde même. J'ai malgré tout trouvé la fin quant légèrement prévisible mais bon il fallait tout de même que l'histoire reste plaisante -sans virer dans le bizarre/glauque-.

Au final je trouve que La Colline aux Coquelicots est un film très Miyazakien, réconfortant et doux comme un cocon où l'on adore se lover pour se laisser bercer -oui oui je me sens l'âme poète ce soir-.

Je vous mets en plus de la bande annonce une des chansons que l'on retrouve au moment de la visite du président du conseil qui est tout bonnement magnifique. La chanson de la bande annonce est la chanson thème du film, je pourrais elle aussi l'écouter en boucle pendant des heures ...



jeudi 19 janvier 2012

Hunger Games


Résumé : Dans le district de Panem, deux adolescents participent au jeu de la Faim. Le vainqueur des épreuves est le dernier survivant. Katniss et Peeta sont les élus du district numéro 12. Ils sont alors chargés de la prospérité de la localité pendant une année... Alors que le jeu télévisé n'est pas tout à fait terminé, Peeta déclare sa flamme à Katniss. Mais ce jeu n'autorise qu'un seul gagnant...

Mon avis :

Au début de l'histoire, j'ai tout de suite accroché au style de l'auteur, aux images qu'elle a réussi à véhiculer. Le "monde" qu'elle a créé. J'ai tout de suite pu me faire une idée du District Douze, de la forêt qui le borde, de la végétation, etc. L'ambiance de la ville et la peur relative au Capitole sont rapidement installée, ce qui nous permet d'entrer de plein pied dans l'histoire. A un moment, alors que je commençais légèrement à me demander où l'auteur voulait nous mener -à la base je pensais que nous parlions d'un monde réel, pas d'un monde fictif-, celle-ci a enfin mis des mots sur mes questions. J'ai ainsi pu comprendre où l'action se situait et qu'il s'agissait d'un monde "futur". Une fois le décor mis en place vient la présentation des personnages. Je n'ai pas tout de suite accroché avec Katniss, je ne savais pas trop quoi penser d'elle et je n'arrivais pas à éprouver de l'affection pour elle. Puis plus tard avec les présentations de Prim, Gale, sa mère et rapidement son père, petit à petit j'ai pu remarqué qui était réellement Katniss. Je trouve qu'il s'agit d'un personnage particulièrement nature, sensible et complexe à la fois.

La suite des évènements et notamment la Moisson contiennent des passages particulièrement émouvants, je ne vais pas vous en parler en détail afin de ne pas spoiler ceux qui n'auront pas encore lu le livre et souhaiteraient le faire. Les passages se déroulant au Capitole sont juste hallucinants ! Les détails des lieux, des personnes, des vêtements, tout est parfait pour que votre imaginaire turlupine à fond et c'est ce que j'aime dans les romans ! Je vais peut être surprendre ceux qui connaisse l'histoire mais au fond je porte une grande affection à Haymitch, je le trouve vraiment attendrissant et surprenant. En fait, je ne saurais pas dire si j'ai en réalité UN personnage "préféré". J'aime beaucoup l'articulation qui existe entre chacun, les liens qu'ils tissent. Après certains passages concernant Peeta sont juste d'une niaiserie infinie ... Mais bon ça reste un roman jeunesse. J'apprécie que Katniss casse en quelque sorte par moment ce coté guimauve, ce qui permet de rendre l'histoire plus "crédible" -si l'on peut parler de crédibilité-. 

En parlant d'histoire, je trouve celle ci particulièrement pleine de sens. Déjà le fait qu'elle se déroule sur ce qui était anciennement l'Amérique du Nord que nous connaissons a un sens profond selon moi. Et bizarrement je ne trouve pas que les Districts ainsi défini soit si fictifs ou invraisemblables que ça. Au contraire, selon moi ces Districts, les Hunger Games, tout cela pourraient arriver un jour. Nous pourrions très bien en arriver à cela dans l'idée -ne jamais sous estimer ce dont l'Homme est capable-. C'est peut être pour cela que le roman m'a autant plut. J'y retrouve beaucoup de sujets qui me posent question. La faim, le pouvoir, l'oppression d'un système sur les plus faibles. Et puis la fameuse télé réalité et ses dérives ! 

Je voudrais juste terminer en vous recommandant sincèrement de le lire. Non pas parce que c'est le roman buzz du moment mais pour l'histoire qu'il raconte. Pour ceux que le côté jeunesse dérange, essayez de passer outre, de ne garder que l'essence du roman, son idée originelle. 

Ah oui aussi ! Pour ceux qui ne le savent pas encore, Hunger Games est une trilogie dont les deux autres tomes (L'Embrasement et La Révolte) ont déjà été publié. La série est aussi en cours d'adaptation au cinéma et nous pourrons découvrir le premier volet le 21 mars prochain. Je ne sais pas ce que donnera le film, je ne m'y suis pas encore assez intéressée mais si l'histoire vous intéresse je pense qu'il est préférable de découvrir le roman de prime abord, c'est généralement la meilleure solution lors d'adaptation.

mercredi 18 janvier 2012

Cœur de Pirate


C'est avec beaucoup de retard que je viens vous proposer un nouvel article. Je suis vraiment désolée mais entre les cours, le stage et les obligations extérieures je n'ai pas vu ma semaine ni mon week end passer !

J'ai eu un gros coup de cœur pour l'artiste dont je vais vous parler ce soir. Je ne connaissais que très peu Cœur de Pirate auparavant, me bornant à me dire "j'aime pas" parce que trop fille/naïf/etc alors que je n'avais jamais réellement écouté ses chansons. Et puis à force d'en entendre parler et -je l'avoue- d'avoir eu beaucoup de temps pour moi à la fin de l'année je me suis lancée.

Bon, tout d'abord une petite remise à niveau pour ceux qui -comme moi- n'avaient pas encore succombé à la jolie blonde. Cœur de Pirate est le nom de scène d'une jeune canadienne de 22 ans, Béatrice Martin. La chanteuse a sorti son premier album éponyme en 2009 avec des titres comme Comme des Enfants ou Pour un Infidèle. C'est en novembre 2011 qu'elle a sorti son deux opus Blonde qui m'a permis de réellement la connaître.

J'ai tout d'abord été interpelée par le contraste que représente Béatrice, sa carrure enfantine, ses tatouages, sa voix fluette et cet accent légèrement anguleux. Pour jouer dans le littéraire, on dirait un oxymore personnifié. De plus, Cœur de Pirate a réussi là où beaucoup d'autres ont échoué ! Elle a réussi à me faire apprécier des chansons ayant des textes en français, ce qui n'était vraiment pas une mince affaire ! Je vous joins deux des chansons qui me parlent/touchent le plus dans l'album (Verseau et La Petite Mort).



jeudi 5 janvier 2012

17 Lunes


Résumé : Lena Duchannes est poursuivie par une malédiction familiale qui fait d’elle un être surnaturel doté de pouvoirs puissants. Mais, même si elle a réussi à éviter le choix entre Bien et Mal durant la terrible nuit de ses seize ans, Lena est de nouveau confrontée aux forces magiques à l’approche de ses dix-sept ans. Effrayée, elle s’éloigne malgré elle d’Ethan Wate, son petit-ami. Pour la protéger, Ethan va devoir explorer le monde de secrets anciens que cache Gatlin. 

Mon avis : 
Je ne pense pas vous l'avoir déjà dit mais pour mes lectures j'emprunte dans les bibliothèques de Paris -de vrais mines d'or !- car ils sont vraiment très à jour sur les nouvelles sorties, ce qui me permet de réaliser de sacrées économiques ! Je vous parle de ça pour vous expliquez le petit problème que j'ai rencontré. L'inconvénient des bibliothèques est qu'il y a une date limite et bien que l'on puisse la prolongée, si le livre est réservé on se trouve dans l'obligation de le ramener. Et c'est donc ce qui m'est arrivé pour 17 Lunes ! J'ai eu une coupure d'environ un mois, pile en plein milieu du livre ! En plus étant en période de partiels et recherche de stage pendant la première partie de ma lecture, celle ci a été vraiment très hachée ce qui m'a empêché de rentrer pleinement dans l'histoire.

L'histoire se déroule dans la même ville de Caroline du Sud, merveilleusement bien décrite par les auteurs je trouve : Gatlin. On y retrouve les mêmes personnages que dans 16 Lunes, mon petit chouchou Ethan, Link, Lena et Ridley par la suite. C'est toujours avec plaisir et appréhension que je me plonge dans une suite, la peur d'être déçue et en même temps la joie de retrouver des personnages attachants et des endroits presque familiers.

17 Lunes se situe directement dans la continuité de 16 Lunes, on y retrouve une Lena brisée et un Ethan décontenancé. Autant être honnête, Lena m'a gonflé, mais genre VRAIMENT gonflée ! J'ai déjà beaucoup de mal avec le fait que les personnages est 17 ans, soit au lycée, le côté adolescent est assez présent, d'autant plus chez Lena. Alors en plus quand le personnage féminin se trouve être dans un état d'esprit "nan-mais-je-souffre-trop-et-je-suis-dangereuse-laisse-moi-m'auto-flageller-je-ne-supporte-plus-ton-amour". Parfois j'avais vraiment l'impression d'entendre Edward Cullen pour vous dire ! Bon ensuite heureusement cela s'améliore durant le livre même si je ne la trouve pas plus intéressante que cela dans ce tome. Ethan en revanche est vraiment une révélation, je trouve que les auteurs l'ont rendu nettement plus mature et humain que dans le tome précédent ce qui est très appréciable. On y voit l'évolution de ses sentiments pour Lena ainsi que l'arrivée de Liv, ce qui rend l'histoire plus complexe. 

En définitive une suite pas trop décevante je trouve, assez différente du premier tome, qui se laisse très facilement lire. Une écriture vraiment appréciable avec de très bonne descriptions des deux mondes, vraiment je m'y serais crue ! La bataille finale est tout aussi prenante et presque émouvante. Bon la fin laisse peut être à désirer je trouve, mais bon j'attends de me procurer 18 Lunes pour me faire une idée plus précise de l'utilité de cette fin. Bonne lecture à vous :)

lundi 2 janvier 2012

La Piel Que Habito


Synopsis : Depuis que sa femme a été victime de brûlures dans un accident de voiture, le docteur Robert Ledgard, éminent chirurgien esthétique, se consacre à la création d’une nouvelle peau, grâce à laquelle il aurait pu sauver son épouse. Douze ans après le drame, il réussit dans son laboratoire privé à cultiver cette peau : sensible aux caresses, elle constitue néanmoins une véritable cuirasse contre toute agression, tant externe qu’interne, dont est victime l’organe le plus étendu de notre corps. Pour y parvenir, le chirurgien a recours aux possibilités qu’offre la thérapie cellulaire.
Outre les années de recherche et d’expérimentation, il faut aussi à Robert une femme cobaye, un complice et une absence totale de scrupules. Les scrupules ne l’ont jamais étouffé, il en est tout simplement dénué. Marilia, la femme qui s’est occupée de Robert depuis le jour où il est né, est la plus fidèle des complices. Quant à la femme cobaye…

Mon avis : 

Alors autant le dire directement, je ne pensais pas écrire cet article au départ. J'ai enfin vu La Piel Que Habito hier soir et j'en suis ressortie vraiment très mitigée, en réalité je ne comprenais pas l'engouement pour ce film. Et puis j'ai eu le temps de réfléchir la dessus. En réalité qu'est ce qui me déplaisait dans ce film? Tout le côté glauque qui entourait le sexe ou plutôt devrais-je dire les viols -ben oui il y en a quand même pas mal au final...-. Bon, une fois ça passait qu'est ce qui me gênait d'autre dans le film? En réalité rien de particulier, j'ai déjà regardé bien pire sans pour autant être traumatisée, donc il fallait bien avouer qu'au final je n'avais pas détester le film. 

Je peux donc maintenant m'attarder pour donner mon avis ! Le début du film est je trouve très stéréotypé "film intelligent et compliqué". Dès les premières minutes et scènes de yoga on sait déjà où l'on est, là dessus on ne nous a pas menti. Ensuite les scènes se succèdent et je ne trouve toujours pas le sens de l'histoire. J'arrive à saisir quelques bribes, le métier de Robert (Antonio Banderas), ce qu'il fait avec Vera  (Elena Anaya), qui est Marilia (Marisa Paredes) mais sans plus. En réalité je suis totalement obnubilée par cette question : "Mais qui est Vera?!". Ce qui me fais sourire durant tout le début du film c'est le fait que, tout de même, on voit à l'écran une femme dans un body vraiment étrange, dans une pièce limite salle d'attente d'un cabinet de dentiste, enfermée qui plus est, mais que non bizarrement ça ne me fait rien. Comme si c'était "normale" ! J'ai compris d'où venait ce sentiment en lisant d'autres critiques, apparemment il est dû à la réalisation. En effet, les scènes sont filmées d'une telle façon qu'une distance se crée entre le spectateur -le voyeur?- et ce qui se déroulent. Donc bon, le côté oh-mon-dieu-je-vois-des-choses-horribles-et-ça-ne-me-fait-rien-je-suis-un-monstre diminue un peu de ce fait ! 

Le seul petit bémol que je donnerais au film est la lenteur de l'explication, il faut tout de même attendre une bonne heure pour que l'histoire débute réellement et que l'on comprenne quelque chose. Et c'est justement à ce moment, une fois que l'on s'est bien fait sa propre idées sur qui était Vera, qu'on en est limite sûre ... que l'on se rend compte que ce n'est pas ça du tout et on repart à zéro. Mais c'est plutôt bien pensé car en effet une fois ce moment atteint l'histoire prend tout son sens et devient limite étouffante par moment. La folie prenant une part de plus en plus grande et la raison s'amenuisant. La dernière action est somme tout prévisible même si il vous l'avouer, on finissait par en douter un peu. Et puis la scène de fin est juste hilarante je trouve -même si en vrai ça ne doit vraiment VRAIMENT pas être drôle-.

En définitive un film signé Pedro Almodóvar, très Almodóvarien de ce qu'on m'en a dit -oui je n'en ai pas vu énormément je crois- qui est, je trouve, vraiment très intéressant à voir ! Après on aime ou pas mais cela n'enlève rien à l'intérêt du film !

Et voici la bande annonce pour ceux que ça intéresserait :


dimanche 1 janvier 2012

Sarah W_Papsun



Pour ce tout premier article de 2012 je tiens à souhaiter à tout ceux qui viennent s'égarer par ici une très bonne et heureuse année ! Pas trop de gueule de bois ou de crise de foie pour vous j'espère héhé.

Alors pour démarrer cette nouvelle année je vais commencer par un petit article musical histoire de se lancer dans 2012 avec du bon son dans les oreilles, et quel son ! Je vais vous parler d'un groupe que j'ai découvert assez récemment et qui tourne en boucle dans mon petit deux pièces, à la grande joie de mes voisins j'espère !

Il s'agit du groupe d'Alternative-pop-progressif -selon leur propre terme- Sarah W_Papsun. J'ai découvert par hasard ce groupe via l'interview de Daphné Burki dans le magazine Cosmopolitan du mois de novembre, comme quoi toute lecture n'est pas inintéressante ! Trouvant tout d'abord le nom original et souhaitant découvrir de nouveau groupe j'ai décidé d'écouter Drugstore Montmartre et autant vous dire que le coup de cœur a été immédiat ! L'originalité des voix en intro, l'intelligence de la musicalité et de la rythmique du morceau couplée à l'accent quasi inexistant du chanteur -avouez que c'est rare pour un groupe français- m'ont littéralement charmé. Pour tout vous avouer je pensais que le groupe était anglais de prime abord, je ne saurais vous expliquer exactement pourquoi mais voilà. La surprise a été d'autant plus grande et meilleure quand j'ai découvert qu'il s'agissait de six parisiens ! La ville lumière est pleine de surprise hihi !

Les clips de Pay Try et Drugstore Montmartre sont de vrais petits bijoux pour qui aiment le style -personnellement j'adore!-. Je vous laisse les découvrir et vous met aussi une de mes chansons préférées du groupe : Bye bye Teacher ! J'espère que vous apprécierez autant que moi. J'ai hâte que l'on entende parler beaucoup plus de ce groupe !

Le groupe fait une petite tournée en mars/avril pour ceux que ça intéressent, personnellement je réserve déjà mon 17 mars car d'après ceux qui les ont déjà vu ils sont énormes sur scène !!

08/03 : Poitiers - Le Confort Moderne, avec Stuck in the sound
09/03 : Rennes - L'Etage, avec Syd Matters
17/03 : Paris - Le Point Ephémère, avec Juveniles
28/03 : La Défense - Festival Chorus
07/04 : Rouen - Le 106, avec Pony Pony Run Run

D'autres dates sont à venir donc n'hésitez pas vous rencarder sur leur site ...


 

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